Kanji Wa harmonie accord
Jean-François Mégret découvre l'Aïkido en 1984 lors de son temps militaire à la Réunion. De retour en métropole, au gré de ses déplacements professionnels, il suit l'enseignement de nombreuses écoles d'Aïkido tout en s'essayant à d'autres pratiques orientales tel le Zen.
C'est finalement auprès d'Alain Peyrache rencontré en 1986 lors d'un stage long d'été à Dives sur Mer qu'il découvre véritablement l'Aïkido. Au début des années 90, lorsqu'Alain Peyrache crée l'EPA, Jean-François Mégret suit dès lors de façon exclusive l'enseignement de celui qui est devenu son maître. Progressivement il comprend la richesse d'une pratique traditionnelle fondée sur l'adage : "Un maître, Un Dojo"
De par son travail amené à bouger souvent il s'entraine ça et là dans les dojos proches de son activité, gros problème qu'il rencontrera à Rodez ne pas polluer et dénaturer ce qu'il a appris de son maitre, une véritable souffrance pour lui de supporter l'ego démesurer d'incapables locaux, alors dès qu'il aura stabilisé son activité professionnelle il crée son dojo en 2001. Ouf enfin ne plus perdre son temps. En 1999 il profite que Vincent Garric crée son dojo pour quitter le club de Rodez car on ne peut pas parler de dojo dans lequel la pratique ne lui convient pas et l'ambiance délétère à de quoi dégouter n'importe quel pratiquant bien intentionné. N'étant toujours pas disponible professionnellement il aide donc Vincent Garric pour la création du dojo de Rodez Onet. Normal il ont le même professeur et suivent le même enseignement.
En 2001, il change de métier et peut enfin crée son propre dojo dans l'Aveyron et poursuit sur la voie (le Do) de l'Aïki en devenant aujourd'hui professeur du Dojo de Montbazens. Alain Peyrache viendra à plusieurs occasion le soutenir et animer de nombreux stage soit à Rodez Onet soit à Montbazens. Voir la page vidéos. Toutes ces années, son parcours professionnel l'a amené à redécouvrir des techniques de remise en forme corporelle "seifuku" ou de "réanimation" kwatsu qui s'intègrent traditionnellement à la pratique martiale. Son propre Senseï (Maître) l’invite régulièrement à conclure ses propres cours lors de stages nationaux et internationaux par cet enseignement très apprécié des pratiquants. C'est dire toute la confiance que lui accorde son maitre Alain Peyrache.
Il prend son rôle d'Uchi deshi à coeur. Il accompagne son maitre Alain Peyrache dans certains stages long à l'étranger comme au Canada. Contrairement à beaucoup ce n'est donc pas un de ces m'as-tu vu de l'aïkido qui ne font qu'un ou 2 stages de Week end par an noyé dans une foule anonyme et qui se targue ensuite d'être un élève proche d'Alain Peyrache comme le font souvent les incapables en mal de reconnaissance.
Aussi discret qu'efficace, il parle peu mais agit, ses élèves sont remarquables et comme lui d'un grand intérêt, qui s'assemble se ressemble.
Traduisant à travers son expérience propre l'enseignement reçu d’un des plus grands maîtres actuels : Alain Peyrache Shihan, Jean-François Mégret invite toutes et tous, de tout âge et de toute condition, à une pratique inscrite dans le cadre traditionnel, seul garant d'une transmission juste respectueuse de l’enseignement du fondateur de l’aïkido.
Beaucoup de régions aimeraient avoir un professeur aussi compétent que Jean-François Megret. Les élèves de la région le constate à chacun des nombreux stages auxquels ils participent.
Devenir son élève, c'est l'assurance de recevoir un enseignement cohérent, attaché à explorer tous les aspects du Do.
C'est la certitude d'une pratique rigoureuse mais accessible à tous, dans une ambiance conviviale et le respect de chacun.
Jean-François Mégret et son dojo travaillent donc étroitement avec les autres élèves d'Alain Peyrache dans l’Aveyron comme Vincent Garric professeur à Onet, Alfred Rivero professeur de Luc la Primaube, André Bouillon arrivé récemment dans la région de Rodez. Des professeurs qui ont eu un parcours similaire au sien, d'où la cohérence dans l'enseignement que l'on trouve dans ces dojos, la grande qualité de l'enseignement prodigué, l'entraide et les échanges fructueux qu'apportent des enseignants de qualité et compétents. Une chance pour les pratiquants de la région intéressés par l'aikido traditionnel.
En aïkido traditionnel la filation avec le fondateur de l'aïkido est très claire... Beaucoup de professeurs d’aïkido n’en parlent pas, car cette filiation les dérange lorsqu’ils jouent un jeu personnel et qu’ils prennent certaines libertés avec l’enseignement du fondateur de l’aïkido.
Lorsque cette filiation est dissimulée c’est que vous n’avez pas affaire à l’aïkido du fondateur de l’aïkido, tout simplement.